Les récentes fluctuations sur le marché des valeurs liées à l’intelligence artificielle (IA) ont attiré l’attention des investisseurs, soulevant des questions sur l’existence d’une bulle spéculative. Alors que ces entreprises se préparent à publier leurs résultats du premier trimestre, la communauté financière est aux aguets.
Engouement démesuré ou prudence avisée ? Dans le monde frénétique des marchés financiers, cette question persiste. Alors que les valeurs liées à l’intelligence artificielle (IA) connaissent une ascension vertigineuse, les investisseurs se retrouvent à la croisée des chemins, jonglant entre optimisme exubérant et vigilance raisonnée. Selon les données de Morningstar, au cours des 12 derniers mois, l’indice Morningstar Global Next Generation Artificial Intelligence, représentant les technologies de pointe en matière d’IA, a enregistré une impressionnante augmentation de 60,56 %.
Les performances de certaines actions clés dans le domaine de l’intelligence artificielle sont tout simplement stupéfiantes. Prenons l’exemple de Nvidia, leader incontesté dans cet univers technologique, dont les actions ont grimpé de plus de 200 % au cours des 12 derniers mois, et de 70 % depuis le début de l’année. De même, Broadcom affiche une hausse de 102 % sur la même période écoulée, et de 13 % depuis le début de l’année. Ces performances vertigineuses suscitent à la fois fascination et inquiétude parmi les investisseurs, qui cherchent à évaluer si ces gains sont le résultat d’une croissance soutenue ou d’une spéculation excessive.
« Il est difficile de trouver des sociétés manifestement sous-évaluées dans ce domaine. Au contraire, de nombreux noms semblent surévalués, et nous pensons que la croissance devrait dépasser de loin nos attentes actuelles pour justifier les valorisations de nombreux noms liés à l’IA », analyse Eric Compton, directeur de la recherche sur les actions chez Morningstar.
Vers une réévaluation inévitable ?
Les performances éblouissantes du groupe des «Magnificent Seven» – Apple, Amazon, Alphabet, Nvidia, Meta, Microsoft et Tesla – affichant une progression de 75 % en Bourse sur les 11 premiers mois de l’année, comparée à un maigre 7 % pour le reste du S&P, semblent indiquer une euphorie excessive. Cependant, une analyse plus approfondie révèle une réalité contrastée.
Les valorisations exorbitantes de certaines valeurs s’appuient sur des hypothèses de croissance futuriste, rappelant ainsi les spéculations des années dot.com. Pourtant, des géants comme Amazon, Google et Meta ont démontré que ces entreprises peuvent, avec le temps, non seulement survivre mais prospérer, offrant des rendements bien au-delà des attentes initiales. Aujourd’hui, le marché se rue sur les valeurs présumées gagnantes de l’IA, mais avec une différence cruciale : la plupart de ces entreprises sont déjà rentables, et leur croissance anticipée justifie en grande partie leurs valorisations actuelles.
Le véritable défi réside dans la capacité de ces entreprises à maintenir le rythme effréné de croissance des bénéfices, justifiant ainsi les valorisations élevées qui intègrent une vision à long terme. Si cette analyse se révèle juste, alors il n’y a pas de bulle. Cependant, si les attentes de croissance sont déjà intégrées dans les cours boursiers, le potentiel de hausse pourrait être limité.
Une croissance dépassant les attentes
Les percées dans l’intelligence artificielle générative ont le potentiel d’apporter des changements considérables à l’économie mondiale, selon Goldman Sachs Research. Alors que les outils utilisant les avancées dans le traitement du langage naturel se diffusent dans les entreprises et la société, ils pourraient entraîner une augmentation de 7 % (soit près de 7 billions de dollars) du PIB mondial et stimuler la croissance de la productivité de 1,5 point de pourcentage sur une période de 10 ans.
« Une nouvelle vague de systèmes d’IA pourrait également avoir un impact majeur sur les marchés de l’emploi dans le monde entier. Les changements dans les flux de travail déclenchés par ces avancées pourraient exposer l’équivalent de 300 millions d’emplois à temps plein à l’automatisation », écrivent les économistes de Goldman Sachs Joseph Briggs et Devesh Kodnani dans un rapport.
Bien que beaucoup reste inconnu sur la manière dont l’IA générative influencera l’économie mondiale et la société, et qu’il faudra du temps pour que cela se concrétise, il est clair que les effets pourraient être profonds.
Certains observateurs mettent en garde contre les excès d’optimisme et les valorisations extravagantes, pointant du doigt les similitudes avec les bulles précédentes. Cependant, d’autres soulignent que les fondamentaux solides de certaines entreprises, combinés à des projections de croissance optimistes, pourraient justifier les niveaux actuels de valorisation. Seul le temps nous dira si l’IA en Bourse est une bulle sur le point d’éclater ou le début d’une ère nouvelle et durable de performance financière.
Texte entièrement généré par ia
Boite noire
Cet article a été entièrement généré par Chat-GPT 4, en plusieurs étapes. La première partie consistait à donner les informations d’un document d’analyse de Morningstar : « Les résultats de ces 10 actions dans l’IA seront-ils à la hauteur des attentes ? », puis de demander à l’IA « écris un article de presse économique à partir de ces données, pour expliquer si oui ou non il y a un bulle spéculative autour des actions d’entreprises d’intelligence artificielle ». Le résultat était intéressant mais trop peu journalistique. Quelques extraits ont été conservés.
Pour trouver l’accroche, le prompt était « trouve une accroche pour cet article pour demander s’il y a de l’euphorie ou si c’est raisonnable. Ca doit être accrocheur, une seule phrase ». Il fallait ensuite avoir en tête la structure classique d’un article de presse pour écrire paragraphe par paragraphe. « Engouement démesuré ou prudence avisée ? Continue l’article ».
« Maintenant poursuis avec un chiffre donné par Morningstar ». Toutes les lourdeurs et répétitions ont été supprimées. Puis, « Maintenant parle des performances de certaines actions et analyse les ». Après avoir extrait une citation, l’article a pu être nourri d’autres documents : un article du magazine Capital, et une étude de Goldman Sachs.
Les prompts étaient « poursuis l’article à l’aide de ces nouvelles informations », « trouve un intertitre ». Après avoir demandé une conclusion, trop universitaire, des extraits seulement ont été conservés et assemblés.
Le graphique a été créé par GPT-4 également, à l’aide d’un tableau récapitulatif déjà existant sur les performances des 7 magnifiques, ces 7 actions américaines liées à l’IA en forte progression.